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Après la presse française, Javier Pastore a su séduire la presse européenne et sud-américaine.
Que se soit l’Italie, l’Espagne, le Portugal, le Brésil ou son pays d’origine, l’Argentine, tout le monde s’accorde sur le fait que le meneur de jeu parisien est aujourd’hui une véritable pépite pour le football. Un futur grand, un génie déniché par le PSG, qui selon la presse, a bien de la chance de l' avoir.
– Pastore met l’Europe à ses pieds.
En Italie, la presse est unanime et regrette le départ de l’international argentin pour la France. Le quotidien sportif la Gazzetta titrait récemment : "PastoRe di Francia" (PastoRoi de France). Le journal sportif estime même que Pastore rejoindra le rang des joueurs qui ont marqué l’histoire du football au même titre que Zinedine Zidane, rien que cela.
Par ailleurs, la chaîne de télévision italienne, SportItalia est la seule à détenir les droits de retransmission de la Ligue 1. Elle ne diffuse en général qu’un à deux matchs chaque journée et choisit généralement de diffuser le club de la capitale.
En Espagne, la presse est elle aussi très élogieuse à l’égard de Pastore. Le grand journal sportif, Marca, avouait même que Pastore élevait le football au rang « d’art » lorsqu’il jouait en ajoutant par ailleurs : «Pastore appartient à cette catégorie des artistes du ballon, comme Zidane, Riquelme, Aimar, Valeron ou le Brésilien Ganso (…) il appartient à cette espèce rare de footballeurs qui élèvent ce sport au rang d'art ».
Marca n’en reste pas là et avoue que le football du Parisien était « exquis ».
Du côté du Portugal, le but somptueux de Pastore lors de la victoire du PSG 1-0 face à Brest est comparé au "chef d'oeuvre de Deco en finale de Ligue des champions face à Monaco en 2004 (3-0, Deco inscrit le 2e)" selon le journal Record.
– Après l’Europe, l’Amérique ?
Mais il n’y a pas que l’Europe qui est tombée amoureuse du milieu offensif parisien. En Amérique du Sud qu’on soit au Brésil ou en Argentine, les performances du joueur sont relayées à travers la presse sportive.
Dernier en date, du côté de l’Argentine, lorsque le journal Ole titrait en Une sur son site internet : "Au rythme del Flaco" (au rythme du maigre, son surnom) suivi bien évidemment de la vidéo du but face à Lyon.
Le journal Clarin expliquait lui : « Il est le recrutement le plus cher du football français et il le vaut bien. Javier Pastore a montré pourquoi le PSG l'avait payé autant. »
Le pays rival de l’Argentine, le Brésil qualifiait, par l’intermédiaire du journal O Globo, les performances de Javier Pastore de « grosses » et le surnomme déjà « l’étoile ».
Que de compliments émanant de la presse internationale à l’égard d’un joueur bourré de talents qui reste malgré tout humble et classe. Un immense respect.