SOUZA, milieu de terrain brésilien du PSG
PAS DE REGRETS évidemment, mais des incompréhensions. A Paris depuis un mois, le Brésilien
Souza ne s'attendait pas à découvrir un PSG aussi mal en point, aujourd'hui 17e du
championnat. « Je n'avais vu qu'un seul match avant de venir, la victoire contre Saint-Etienne
(1-0) en décembre, confie-t-il.
Je savais que le club n'allait pas très bien, mais je ne m'attendais
pas à ça. » Le milieu de terrain auriverde fait le point.
pas à ça. » Le milieu de terrain auriverde fait le point.
Les difficultés du club.
En dehors
de la victoire en Coupe de la Ligue contre Auxerre (3-2), Souza n'a pas encore vu gagner son
club : deux nuls (Le Mans, Monaco) et deux défaites (OM, Bordeaux) en championnat depuis son
arrivée, soit deux points sur douze possibles ! « Je ne comprends pas, dit-il. La première demi-heure
est souvent bonne. Puis, dès qu'on se prend un but, les joueurs baissent les bras. On perd le
ballon plus facilement, le marquage est plus lâche, le jeu moins construit. On a tellement envie
de marquer qu'on se précipite trop sans essayer de construire nos actions. » A ses yeux, et
ce n'est pas nouveau, le problème est avant tout psychologique. « La qualité de l'équipe n'est
pas en cause. Sur le papier, les joueurs sont bons. C'est plutôt dans leur tête, je pense. Il
y a un problème de confiance. Dès qu'ils commencent à connaître des difficultés, ils se rappellent
certainement les précédentes défaites, et donc ils se découragent très vite, poursuit-il. Il
faudra un match de référence, une belle victoire sur laquelle se reposer. Toujours est-il qu'on
n'a plus le droit à l'erreur. Les onze prochains matchs, ce sont autant de finales à gagner.
»
En dehors
de la victoire en Coupe de la Ligue contre Auxerre (3-2), Souza n'a pas encore vu gagner son
club : deux nuls (Le Mans, Monaco) et deux défaites (OM, Bordeaux) en championnat depuis son
arrivée, soit deux points sur douze possibles ! « Je ne comprends pas, dit-il. La première demi-heure
est souvent bonne. Puis, dès qu'on se prend un but, les joueurs baissent les bras. On perd le
ballon plus facilement, le marquage est plus lâche, le jeu moins construit. On a tellement envie
de marquer qu'on se précipite trop sans essayer de construire nos actions. » A ses yeux, et
ce n'est pas nouveau, le problème est avant tout psychologique. « La qualité de l'équipe n'est
pas en cause. Sur le papier, les joueurs sont bons. C'est plutôt dans leur tête, je pense. Il
y a un problème de confiance. Dès qu'ils commencent à connaître des difficultés, ils se rappellent
certainement les précédentes défaites, et donc ils se découragent très vite, poursuit-il. Il
faudra un match de référence, une belle victoire sur laquelle se reposer. Toujours est-il qu'on
n'a plus le droit à l'erreur. Les onze prochains matchs, ce sont autant de finales à gagner.
»
Son niveau de jeu.
Malgré un bon premier match de Souza contre Le Mans (0-0), début février,
les suivants ont moins convaincu. « J'avais beaucoup donné à Marseille (défaite 2-1). Du coup,
une semaine après contre Monaco (1-1), je n'étais pas au top, je me sentais fatigué. J'en ai
parlé à l'entraîneur après le match. Il m'a fait souffler », explique-t-il. Le Brésilien n'a
en effet pas été aligné contre Auxerre en Coupe de la Ligue et n'est rentré qu'une demi-heure
à Bordeaux (défaite 3-0). « Je n'ai pas encore le rythme. Le jeu est plus physique ici. Je dois
aussi apprendre à garder plus longtemps le ballon et améliorer la qualité de mes dribbles et
de mes centres. Je ne suis pas à 100 %. Mais j'ai hâte de l'être, vu la situation du club. Au
Brésil, je marquais une moyenne de dix buts par saison et j'étais aussi très souvent passeur
décisif. Ce qui manque au PSG, ce sont notamment des joueurs comme Rothen, qui donnent des ballons
aux attaquants. Une fois à mon niveau, je pourrai apporter beaucoup au club dans ce domaine
et l'aider à se sauver. »
Malgré un bon premier match de Souza contre Le Mans (0-0), début février,
les suivants ont moins convaincu. « J'avais beaucoup donné à Marseille (défaite 2-1). Du coup,
une semaine après contre Monaco (1-1), je n'étais pas au top, je me sentais fatigué. J'en ai
parlé à l'entraîneur après le match. Il m'a fait souffler », explique-t-il. Le Brésilien n'a
en effet pas été aligné contre Auxerre en Coupe de la Ligue et n'est rentré qu'une demi-heure
à Bordeaux (défaite 3-0). « Je n'ai pas encore le rythme. Le jeu est plus physique ici. Je dois
aussi apprendre à garder plus longtemps le ballon et améliorer la qualité de mes dribbles et
de mes centres. Je ne suis pas à 100 %. Mais j'ai hâte de l'être, vu la situation du club. Au
Brésil, je marquais une moyenne de dix buts par saison et j'étais aussi très souvent passeur
décisif. Ce qui manque au PSG, ce sont notamment des joueurs comme Rothen, qui donnent des ballons
aux attaquants. Une fois à mon niveau, je pourrai apporter beaucoup au club dans ce domaine
et l'aider à se sauver. »
LeParisien