Alain Cayzac en a marre, il ne supporte plus que les journalistes « sacharnent » sur le PSG, que les médias multiplient les interventions fantasmant sur une éventuelle descente en L2 de lunique club de la capitale française. Je ne sais pas pour vous, mais moi ce qui me choque le plus, ce nest pas le fait que les journalistes parlent des déboires du PSG, mais cest le fait que notre cher président narrive à trouver de la fougue que pour sen prendre à ces derniers.
Depuis le début de saison, on nous parle de « révolte », de « courage », de « combattre ensemble », mais rien ne se passe. Les journalistes constatent, comme vous, comme moi, que le PSG est 18ème dun bien triste championnat de France, dans lequel personne nest intouchable, si ce nest Lyon¦peut-être¦ Le PSG se bat depuis maintenant plus dun an pour ne pas disparaître et à mon humble avis il est tout à fait normal que cela fasse les grands titres des journaux et autres émissions footballistiques.
Un recrutement raté, un entraîneur surprotégé, aucune décision, aucune réaction, voilà ce qui ménerve plus quun article condamnant les PSG à la L2. Marre des belles paroles et de lexaspération inutile, marre de cette apathie ambiante, marre que de leur faute on traîne notre club dans la boue.
« Encore des mots, toujours des mots, les mêmes mots, rien que des mots¦. » tout le monde connaît cette chanson, et les « paroles » cela va un temps. Le PSG se doit de remporter une troisième Coupe de la Ligue, et devra battre Strasbourg, au Parc des Princes pour espérer se maintenir dans lélite. Mais quand bien même nous arrivions à atteindre ces objectifs notre bon vieux président devra prendre ses responsabilités car nous ne sommes pas « au pays de Candy » et tout le monde il pas beau, tout le monde il est pas gentil, les critiques font partie du jeu, et le jeu en vaut la chandelle. Nous serons toujours derrière notre club, mais lorsque nous les premiers, ne comprenons plus nos dirigeants cela devient grave.
Alors Cayzac un homme en colère, mais après les journalistes, ou après lui-même ?