Un autre américain dans le viseur

Déjà annoncé du côté de la capitale cet hiver, la piste menant à l'international américain, DaMarcus Beasley pourrait de nouveau voir le jour cet été.

Une nouvelle fois champions d'Ecosse, les Glasgow Rangers subissent cependant la crise de plein fouet et sont en manque de liquidités. Ayant déjà du se séparer de Jérôme Rothen cet été pour des raisons financières, les Rangers vont devoir se résoudre à laisser partir leurs meilleurs éléments lors de ce mercato. Et parmi ces joueurs figurent un international américain déjà pisté par le PSG cet hiver : DaMarcus Beasley.

L’international américain ne sera pas prolongé après 3 saisons passées en terres écossaises. Le polyvalent milieu offensif sera donc libre de s'engager avec le club de son choix, ne moyennant donc aucune indemnité de transfert. Et même s'il souhaite pour le moment se concentrer sur la Coupe du Monde en Afrique du Sud qu'il disputera avec la sélection des Etats-Unis, Beasley a tout de même livré des renseignements concernant son futur club.

Passé par le PSV Eindhoven, Manchester City et les Glasgow Rangers, le joueur souhaite poursuivre son tour des championnats européens. C'est en tout cas ce qu'affirme son agent dans les colonnes de Footmercato : « Après les Pays-Bas au PSV Eindhoven, l’Angleterre à Manchester City et l’Écosse aux Rangers, DaMarcus aimerait bien connaître un nouveau pays et découvrir un autre championnat en Europe. Mais avant tout, il souhaite se concentrer sur sa préparation pour la Coupe du monde. On verra ensuite ». La porte est donc ouverte à la Ligue 1.

Son agent revient également sur la rumeur qui envoyait Beasley au PSG cet hiver. S'il confirme celle-ci, il admet toutefois que rien de concret n'a été engagé : « J’ai effectivement entendu cette rumeur en janvier, mais il n’y avait rien de concret ». Capable de jouer sur l'aile gauche comme sur l'aile droite, l'international étasunien pourrait être une bonne solution en cas de départ de Ludovic Giuly. Le fait qu'il soit américain et en fin de contrat pourrait d'ailleurs faciliter le dossier pour l'actionnaire américain du PSG, Colony Capital.