Le procès liant le Paris Saint-Germain à Vahid Halilhodzic a pris fin
aujourd'hui. Souvenez-vous: février 2005, "coach Vahid", entraîneur
réputé pour ses mises au vert et ses coups de gueule, est limogé par
Francis Graille suite à une nouvelle défaite au Parc des Princes face à
Lens (0-2). Vexé de cette rupture anticipée de son contrat de travail,
Halilhodzic porta plainte pour "rupture abusive de contrat de travail".
Le conseil des prud'hommes lui a donné raison en décembre 2005,
obligeant le PSG a lui verser 3,5 millions d'euros d'indemnité.
Cependant, en appel, le PSG obtient gain de cause et se voit même
verser 80 000 euros de dommages et intérêts de sa part ! Il décide donc
de tenter sa dernière chance, la cour de cassation. Et sa décision est
venue aujourd'hui: Elle confirme la décision rendue par la cour
d'appel, en donnant comme motifs que qu'"aucune faute grave imputable à
l'employeur n'était caractérisée". Elle a aussi ajouté qu'"en cas de
rupture anticipée du contrat à durée déterminée par le salarié,
l'employeur est en droit de prétendre au paiement de
dommages-intérêts". De ce fait, l'ancien joueur et coach parisien aura
tout perdu: un ami de longue date, un plan de carrière et… de
l'argent. On retiendra quand même sa fabuleuse saison 2003-2004, avec
une deuxième place à la clé et une Coupe de France.
aujourd'hui. Souvenez-vous: février 2005, "coach Vahid", entraîneur
réputé pour ses mises au vert et ses coups de gueule, est limogé par
Francis Graille suite à une nouvelle défaite au Parc des Princes face à
Lens (0-2). Vexé de cette rupture anticipée de son contrat de travail,
Halilhodzic porta plainte pour "rupture abusive de contrat de travail".
Le conseil des prud'hommes lui a donné raison en décembre 2005,
obligeant le PSG a lui verser 3,5 millions d'euros d'indemnité.
Cependant, en appel, le PSG obtient gain de cause et se voit même
verser 80 000 euros de dommages et intérêts de sa part ! Il décide donc
de tenter sa dernière chance, la cour de cassation. Et sa décision est
venue aujourd'hui: Elle confirme la décision rendue par la cour
d'appel, en donnant comme motifs que qu'"aucune faute grave imputable à
l'employeur n'était caractérisée". Elle a aussi ajouté qu'"en cas de
rupture anticipée du contrat à durée déterminée par le salarié,
l'employeur est en droit de prétendre au paiement de
dommages-intérêts". De ce fait, l'ancien joueur et coach parisien aura
tout perdu: un ami de longue date, un plan de carrière et… de
l'argent. On retiendra quand même sa fabuleuse saison 2003-2004, avec
une deuxième place à la clé et une Coupe de France.