Paris peut-il faire autrement que de laisser le ballon à ses
adversaires ? « Faire le jeu, on ne sait pas vraiment faire »,
reconnaît Armand. Le traumatisme des saisons passées est dans toutes
les têtes. « On doute encore facilement, poursuit-il. Dès que léquipe
adverse multiplie les attaques, on devient fébrile. Et dès quon se
prend un but, les vieux démons reviennent. » Du coup, léquipe est plus
rassurée lorsquelle soblige à défendre en bloc. « Cela évite de
prendre des buts casquettes et de perdre des points bêtement », note le
vice-capitaine du PSG.
adversaires ? « Faire le jeu, on ne sait pas vraiment faire »,
reconnaît Armand. Le traumatisme des saisons passées est dans toutes
les têtes. « On doute encore facilement, poursuit-il. Dès que léquipe
adverse multiplie les attaques, on devient fébrile. Et dès quon se
prend un but, les vieux démons reviennent. » Du coup, léquipe est plus
rassurée lorsquelle soblige à défendre en bloc. « Cela évite de
prendre des buts casquettes et de perdre des points bêtement », note le
vice-capitaine du PSG.