Nuno Mendes décisf face à l'Espagne
À l’occasion de la finale de la Ligue des Nations, le Portugal de Vitinha, João Neves, Gonçalo Ramos et Nuno Mendes affrontait l’Espagne de Fabián Ruiz à Munich pour un match au sommet du football international.
Les compositions :
Portugal : D.Costa – J.Neves, R.Dias, G.Inacio, N.Mendes – B.Fernandes, Vitinha, B.Silva – F.Conceiçao, C.Ronaldo, P.Neto
Espagne : U.Simon – O.Mingueza, R.Le Normand, D.Huijsen, M.Cucurella – Pedri, M.Zubimendi, F.Ruiz – L.Yamal, M.Oyarzabal, N.Williams
Le déroulé de la rencontre :
Hormis Gonçalo Ramos, tous nos Parisiens étaient titulaires et auront fourni un match complet. Mais à vrai dire, les Portugais auront su se mettre davantage en avant, car c’est bien la Seleção qui l’emporte face à la Roja aux tirs au but, après une rencontre se terminant sur le score de 2-2.
L’Espagne avait d’ailleurs ouvert le score avec de la réussite par l’intermédiaire de Martín Zubimendi (21e minute), avant que Nuno Mendes, d’une somptueuse percée et d’une frappe croisée surpuissante, ne remette le Portugal à hauteur (26e minute). Pour autant, la Roja, se montrant très dominatrice, reprendra l’avantage avant la mi-temps (45e minute) à la suite d’une passe magnifiquement glissée par Mikel Oyarzabal.
Lors de la seconde période, la Seleção reprend timidement les commandes de la rencontre et se montre davantage offensive. À la 61e minute, Nuno Mendes déboule une nouvelle fois sur son côté gauche, laissant Yamal et Mingueza sur place, et centre fort devant le but ; le ballon est contré et retombe parfaitement sur Cristiano Ronaldo, qui pousse le ballon au fond des filets d’Unai Simón.
Les deux équipes n’arrivent plus à se départager et finiront aux tirs au but. Nos Parisiens (Vitinha, Gonçalo Ramos et Nuno Mendes) inscriront tous leurs penalties, tandis que l’Espagnol Álvaro Morata butera sur Diogo Costa. Le Portugal s’impose donc et remporte la deuxième Ligue des Nations de son histoire.
Nuno Mendes est, sans aucun suspense, élu homme du match après avoir complètement cadenassé le prétendu candidat au Ballon d’Or, Lamine Yamal, qui n’aura réussi à aucun moment à se montrer dangereux.
