Barça - PSG : Nuno Mendes renversant, Barcola discret - les notes du match

Soirée extraordinaire à Montjuïc où une équipe totalement remaniée du Paris Saint-Germain s’est imposée face au FC Barcelone (2-1) pour le compte de la deuxième journée de Ligue des Champions. Avec la titularisation de trois titis, le club de la capitale a su parfaitement contrecarrer le plan des hommes d’Hansi Flick. Découvrez les notes du match.

Les satisfactions

À toute vitesse, Nuno Mendes (9) finit sans aucun suspense Homme de la rencontre grâce à une performance exceptionnelle. Face à lui, Lamine Yamal n’aura jamais fait la différence, empêché par la vitesse et la qualité défensive du Portugais. Le latéral gauche enchaînera récupérations et percées qui entraîneront l’ouverture du score parisienne à la 18ᵉ minute à la suite d’un déboulé et d’une passe décisive pour Senny Mayulu. Replacé en ailier gauche en seconde période, il restera le Parisien le plus dangereux de la rencontre.

Autre latéral, Achraf Hakimi (7) finit une nouvelle fois la rencontre épuisé. Épuisé de ses courses infinies entre attaque et défense, mais aussi d’un pressing constant, enchaînant les courses à haute intensité. Une prestation hors norme qui se conclura par une passe décisive pour Gonçalo Ramos à la 90ᵉ minute. Brillant.

Plusieurs autres très bonnes prestations peuvent être soulignées, comme celle d’Illia Zabarnyi (7), sauveur miraculeux en première période, de Senny Mayulu (7), buteur en première période, ou encore d’Ibrahim Mbaye (6), plein de fougue et d’audace.

Les déceptions

Un peu maladroit, Bradley Barcola (5) aura plus excellé défensivement qu’offensivement face à des Barcelonais très agressifs. Mal embarqué sur le côté gauche, il sera replacé de l’autre côté où il parviendra plus souvent à faire la différence. Maladroit face au but, il cédera sa place à Quentin Ndjantou à la 80ᵉ minute.

Titulaire de dernière minute après les mauvaises sensations de João Neves à l’échauffement, Warren Zaïre-Emery (5) sera l’auteur d’une prestation assez solide mais qui manquera peut-être un peu d’audace. Globalement, le Français aura davantage excellé dans la conservation que dans l’envie offensive.