Sur trois totaux comparables, à la 15e journée toujours, que voit-on ?
En 2000-2001, le PSG possédait 25 points. Il a terminé 9e . En
2002-2003, il en avait 24 pour échoir à la 11e place. Et lors de ses
deux saisons à 27 points, la première, il sest classé 2e mais lautre,
il a fini 9e . Cette dernière correspond à lépoque où Paris a changé
dentraîneur à la trêve, avec le renvoi de Laurent Fournier et
larrivée de Guy Lacombe, que le PSG retrouvera dimanche du côté de
Rennes. Bref, compter 26 points au bout de 15 journées peut aussi bien
conduire sur le podium quau ventre mou.
En 2000-2001, le PSG possédait 25 points. Il a terminé 9e . En
2002-2003, il en avait 24 pour échoir à la 11e place. Et lors de ses
deux saisons à 27 points, la première, il sest classé 2e mais lautre,
il a fini 9e . Cette dernière correspond à lépoque où Paris a changé
dentraîneur à la trêve, avec le renvoi de Laurent Fournier et
larrivée de Guy Lacombe, que le PSG retrouvera dimanche du côté de
Rennes. Bref, compter 26 points au bout de 15 journées peut aussi bien
conduire sur le podium quau ventre mou.
On pourrait également regarder ces statistiques sous langle des
défaites. Paris a déjà subi cinq revers, cest-à-dire quil perd en
moyenne une fois toutes les trois rencontres. Cette mauvaise cadence
lui est déjà arrivée. Mais là encore, comme avec ces 26 points plutôt
prometteurs, cela ne veut rien dire. Cinq défaites en 15 journées, le
PSG la déjà fait quatre fois en dix ans avec au final deux 9e place
(1998-1999 et 2004-2005), une 2e place (1999-2000) et une 16e place
(2007-2008). Sincliner relativement souvent ne signifie donc pas
forcément lenfer si, en compensation, léquipe fait peu de matchs
nuls.
Avec ses 8 victoires en 15 matchs, le PSG na pas réalisé mieux
ces dix dernières saisons. La grosse différence avec lexercice
précédent se situe donc là : au lieu de partager sept fois le score, il
ne compte que deux nuls cette saison. Cest sans doute ce qui amène
très souvent Paul Le Guen à parler de « réussite » et de « scénario
favorable » pour expliquer le renouveau du PSG. Faire basculer un nul
en victoire change une saison.
ces dix dernières saisons. La grosse différence avec lexercice
précédent se situe donc là : au lieu de partager sept fois le score, il
ne compte que deux nuls cette saison. Cest sans doute ce qui amène
très souvent Paul Le Guen à parler de « réussite » et de « scénario
favorable » pour expliquer le renouveau du PSG. Faire basculer un nul
en victoire change une saison.
Le Parisien