Le PSG aime à se plaindre de la pression médiatique. Une descente lui permettrait d'éloigner ce qu'il vit manifestement comme un fardeau. Les entraînements seraient certainement moins suivis, leurs matchs moins commentés. Du côté des supporteurs, une fois passé le moment de colère et de déception, seuls les vrais, ceux qui sont là aussi bien dans la « victoire comme la défaite », continueraient à soutenir le club. La frange la plus extrémiste, privée d'une tribune d'envergure, pourrait disparaître des gradins. Mais cette sérénité ne tient qu'à une seule condition, celle d'être rapidement en haut du classement et de ne pas passer plus d'un an en Ligue 2. Or, avec le PSG, rien n'est moins sûr.