Habitué depuis trois ans à batailler pour le maintien en championnat mais à rayonner dans les deux coupes, le PSG vit l'inverse cette saison. Un paradoxe qui n'est pas pour déplaire aux joueurs de Paul Le Guen.
Le PSG ne vit vraiment pas une saison comme les autres. Les années précédentes, les parisiens, moribonds en championnat, se régalaient dans les deux coupes nationales. Une tendance à bien se comporter en Coupe de France comme en Coupe de la Ligue qui avait même frisé l'apothéose en 2008. Tandis que le PSG se battait contre la relégation en L1, il avait ainsi réussi paradoxalement à remporter la Coupe de la Ligue quelques semaines seulement avant d'être battu en finale de l'autre coupe, par Lyon. Un exploit que Paul Le Guen et ses hommes sont sûrs de ne pas réitérer cette année. La saison de coupes à peine entamée que les parisiens ne sont ainsi déjà plus de la partie. Ni dans un coupe ni dans l'autre.
Humilié à domicile par Bordeaux en demi-finales de la Coupe de la Ligue en février dernier, le club parisien a connu mercredi soir un nouveau revers navrant en Coupe de France. Battu à l'issue de la prolongation par Rodez, pensionnaire du National, le PSG, qui n'en sort pas grandi, n'est donc plus en lice que sur deux tableaux : championnat et Coupe de l'UEFA. Et si cette élimination prématurée face à un « petit » ne faisait évidemment pas le bonheur des parisiens au sortir du stade Paul-Lignon, elle n'avait pas forcément l'air de les perturber plus que ça. Pour Mateja Kezman, entré en jeu durant la prolongation, c'est même « peut-être une bonne chose d'avoir perdu par rapport au championnat. »
Même sentiment chez Sylvain Armand, tellement ravi de pouvoir jouer les premiers rôles en championnat cette saison qu'il en regretterait à peine cette élimination lui aussi. « On n'est pas traumatisés. Ce n'est pas comme l'an passé, lorsque l'on jouait le maintien et qu'on ne pouvait miser que sur les coupes nationales pour égayer notre saison. Après le match, tout le monde parlait même déjà de Lorient dans le vestiaire. C'est bon signe, il reste de bons jours devant nous. » N'être plus en lice dès ce mois de mars dans aucune des deux compétitions phares de l'ancien PSG ne devrait donc pas empêcher de dormir les troupes de Paul Le Guen, uniquement rivées désormais sur le titre et la victoire finale en UEFA. « Des échéances importantes nous attendent, rappelait Fabrice Pancrate mercredi. Cette élimination n'est donc pas un coup d'arrêt mais une piqûre de rappel. »
Humilié à domicile par Bordeaux en demi-finales de la Coupe de la Ligue en février dernier, le club parisien a connu mercredi soir un nouveau revers navrant en Coupe de France. Battu à l'issue de la prolongation par Rodez, pensionnaire du National, le PSG, qui n'en sort pas grandi, n'est donc plus en lice que sur deux tableaux : championnat et Coupe de l'UEFA. Et si cette élimination prématurée face à un « petit » ne faisait évidemment pas le bonheur des parisiens au sortir du stade Paul-Lignon, elle n'avait pas forcément l'air de les perturber plus que ça. Pour Mateja Kezman, entré en jeu durant la prolongation, c'est même « peut-être une bonne chose d'avoir perdu par rapport au championnat. »
Même sentiment chez Sylvain Armand, tellement ravi de pouvoir jouer les premiers rôles en championnat cette saison qu'il en regretterait à peine cette élimination lui aussi. « On n'est pas traumatisés. Ce n'est pas comme l'an passé, lorsque l'on jouait le maintien et qu'on ne pouvait miser que sur les coupes nationales pour égayer notre saison. Après le match, tout le monde parlait même déjà de Lorient dans le vestiaire. C'est bon signe, il reste de bons jours devant nous. » N'être plus en lice dès ce mois de mars dans aucune des deux compétitions phares de l'ancien PSG ne devrait donc pas empêcher de dormir les troupes de Paul Le Guen, uniquement rivées désormais sur le titre et la victoire finale en UEFA. « Des échéances importantes nous attendent, rappelait Fabrice Pancrate mercredi. Cette élimination n'est donc pas un coup d'arrêt mais une piqûre de rappel. »
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