Un joker empoisonné. Ce soir, Lens dispute son match en retard de la
31e journée de Ligue 1 à Saint-Etienne. Certes, les Lensois ont très
envie de prendre des points au moment où ni Toulouse, ni le PSG, ni
Strasbourg ne jouent. « Mais si on perd 2-0, on repassera dans la
charette », regrette Jean-Pierre Papin. C'est une conséquence logique
de l'infâme brouet livré face à Metz, samedi (1-1). Le Racing a beau
être repassé à la 16e place, il ne le doit qu'à une différence de but
très légèrement favorable (+1 sur Toulouse, +2 sur Paris, +3 sur
Strasbourg). Et, alors que les Artésiens n'ont plus gagné en
championnat depuis deux mois, ils visiteront un stade Geoffroy-Guichard
où Jérémy Janot n'a pris que quatre buts cette saison. Dos au mur les
Lensois le sont donc plus que jamais. D'autant qu'ils enchaîneront ce
week-end avec un périlleux déplacement, à Lorient. « On va à
Saint-Etienne pour ne pas perdre. Si on ne perd pas, on aura fait un
bout de chemin sur la route du maintien », estime « JPP ». Un tout
petit bout alors, parce qu'on n'est pas loin de penser que si le Racing
se sauve, il le fera in extremis. « Je ne suis pas cartomancienne, mais
j'espère éviter de jouer notre tête contre Bordeaux lors la dernière
journée », lance l'entraîneur lensois. « Mais si nos adversaires
espèrent entendre de nos bouches qu'on va lâcher, ils se trompent »
31e journée de Ligue 1 à Saint-Etienne. Certes, les Lensois ont très
envie de prendre des points au moment où ni Toulouse, ni le PSG, ni
Strasbourg ne jouent. « Mais si on perd 2-0, on repassera dans la
charette », regrette Jean-Pierre Papin. C'est une conséquence logique
de l'infâme brouet livré face à Metz, samedi (1-1). Le Racing a beau
être repassé à la 16e place, il ne le doit qu'à une différence de but
très légèrement favorable (+1 sur Toulouse, +2 sur Paris, +3 sur
Strasbourg). Et, alors que les Artésiens n'ont plus gagné en
championnat depuis deux mois, ils visiteront un stade Geoffroy-Guichard
où Jérémy Janot n'a pris que quatre buts cette saison. Dos au mur les
Lensois le sont donc plus que jamais. D'autant qu'ils enchaîneront ce
week-end avec un périlleux déplacement, à Lorient. « On va à
Saint-Etienne pour ne pas perdre. Si on ne perd pas, on aura fait un
bout de chemin sur la route du maintien », estime « JPP ». Un tout
petit bout alors, parce qu'on n'est pas loin de penser que si le Racing
se sauve, il le fera in extremis. « Je ne suis pas cartomancienne, mais
j'espère éviter de jouer notre tête contre Bordeaux lors la dernière
journée », lance l'entraîneur lensois. « Mais si nos adversaires
espèrent entendre de nos bouches qu'on va lâcher, ils se trompent »
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