Mais le bilan chiffré des 28 e et 29 e étapes de la L1 dépasse le
strict cadre de ce que Paris laisse aux autres. Il y a aussi ce quil
sinflige à lui-même : deux défaites consécutives, les 8e et 9e de la
saison, sept buts encaissés, une différence de buts qui en perd cinq
pour échouer à + 9, la moins bonne des six premiers, un joueur
indispensable désormais indisponible pour plusieurs semaines, Armand,
victime dune entorse au genou gauche. « Jai connu des soirées
meilleures », soufflera Sébastien Bazin, le président du PSG en
quittant le stade.
strict cadre de ce que Paris laisse aux autres. Il y a aussi ce quil
sinflige à lui-même : deux défaites consécutives, les 8e et 9e de la
saison, sept buts encaissés, une différence de buts qui en perd cinq
pour échouer à + 9, la moins bonne des six premiers, un joueur
indispensable désormais indisponible pour plusieurs semaines, Armand,
victime dune entorse au genou gauche. « Jai connu des soirées
meilleures », soufflera Sébastien Bazin, le président du PSG en
quittant le stade.
Ce matin et pour deux semaines, trêve internationale oblige, six
équipes se tiennent en quatre points, de Lyon à Paris, en passant par
Marseille, Bordeaux, Toulouse et Lille. Comme si le podium allait
peut-être se jouer à la différence de buts en mai, bref à rien. C'est
beau et à couper le souffle même si le PSG, grand perdant de cette 29e
journée, avancera que la beauté est vraiment une notion subjective.
équipes se tiennent en quatre points, de Lyon à Paris, en passant par
Marseille, Bordeaux, Toulouse et Lille. Comme si le podium allait
peut-être se jouer à la différence de buts en mai, bref à rien. C'est
beau et à couper le souffle même si le PSG, grand perdant de cette 29e
journée, avancera que la beauté est vraiment une notion subjective.
Sans défense, les hommes de Le Guen ont même débuté la seconde période
avec un dernier rempart estampillé CFA à 50 % avec Mabiala et Makonda.
Sans ressort et sans âme, le PSG sest écroulé devant le défi
athlétique proposé par Gignac et ses copains, du style rouleaux
compresseurs que goûte modérément Paris, déjà secoué par Bordeaux et
Rennes cette saison. Les parisiens guettent le calendrier avec
inquiétude : ils doivent aller à Lille et à Lyon et recevoir Rennes.
Pour espérer la Ligue des champions, il faudra un jour mettre fin à ce
nouveau calvaire devant les grosses équipes.
Le Parisien