Simon
Tahar.
C'est bel et bien le match le plus important de la saison, car nous n'aurons plus aucune
occasion de nous rattraper.
Tahar.
C'est bel et bien le match le plus important de la saison, car nous n'aurons plus aucune
occasion de nous rattraper.
Nous avons notre destin entre nos mains. J'espère qu'il n'y a pas
de suffisance dans l'équipe. J'ai demandé à Paul Le Guen de dire aux joueurs que rien n'était
joué. Le seul sentiment qui doit les habiter, c'est la gagne. Je suis confiant. Ils veulent
tous mettre fin à ce cauchemar.
de suffisance dans l'équipe. J'ai demandé à Paul Le Guen de dire aux joueurs que rien n'était
joué. Le seul sentiment qui doit les habiter, c'est la gagne. Je suis confiant. Ils veulent
tous mettre fin à ce cauchemar.
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Le club est invaincu depuis trois matchs en L 1. Doit-on parlerd'un effet Tahar
ou d'un effet Moulin ?
Ni l'un ni l'autre. Michel Moulin communique avec le
groupe. Il est là, avec sa passion pour le foot, pour insuffler de l'envie. Quant à moi, j'ai
la responsabilité de défendre et de protéger le club. Après la défaite à Caen, l'équipe était
complètement déstabilisée et traumatisée. Il fallait lui redonner confiance. La première fois
que j'ai parlé aux joueurs, je leur ai demandé de ne douter ni de leur entraîneur ni de leurs
qualités.
Etes-vous candidat au poste de président la saison prochaine ?
Pour l'instant, on
m'a confié une mission, celle de maintenir le club en L 1. Je l'ai acceptée par devoir. Ma vie
a changé depuis que j'occupe ce poste qui implique beaucoup de responsabilités. Même la nuit
je pense au PSG avec parfois des réveils difficiles en fonction du scénario. Pour la saison
prochaine, c'est à l'actionnaire de référence de faire son choix. Si on me demandait de rester,
je répondrais que cela dépend à quelles conditions. Je n'aimerais pas savoir que je suis un
choix par défaut.
