Mon nom est Lucas et voici mon histoire (2/2)

(SUITE ET FIN DE L'HISTOIRE DE LUCAS)

Quelques jours avant le match de la Ligue des Champions face au FC Barcelone, via mon compte twitter, je promets aux supporters qu'on ne se laissera pas faire et quelque sot l'adversaire, on répondra présent, on ira au charbon et on se montrera à la hauteur car  « Ici c'est Paris. » 

  

  

  

  

  

« Lucas a montré qu'il sera très vite et à n'en pas douter l'une des grandes stars du foot mondial. » affirme encore Pierre Ménès, séduit au même titre que tous les observateurs et acteurs du football français.

Le match retour au Camp Nou promet car les Catalans savent désormais que leur adversaire est de taille.

  

  

  

  

  

Le seul et l’unique représentant français est tombé… Frustration, déception mais aucun regret. Nous sommes éliminés de cette prestigieuse compétition sans perdre mais aucun des deux matchs face à cette équipe barcelonaise présentée comme la meilleure de l’histoire. 

Nous avons presque réussi à créer l’exploit dans ce mythique ce stade mais le plus important est que le Paris Saint Germain a envoyé un signal fort a toute l’Europe, désormais il faudra compter sur lui.

« La Coupe d’Europe s’arrête là pour Paris, mais sans avoir perdu en deux matchs face au Barça, ce qui est déjà une sacrée performance pour une équipe qui n’existait pas il y a 20 mois. Ce PSG est peut-être bâti à coups de millions, mais il a montré ce soir qu’il avait du talent et une âme… 

Mais hier soir, les Parisiens m’ont épaté. Ils ont été qualifiés pendant 20 minutes et ont filé une trouille bleue au Barça. Et surtout ils ont dominé la rencontre, en se procurant les meilleures occasions, notamment au cours d’une première mi-temps qui aurait été parfaite si Paris avait transformé l’une de ses nombreuses occasions.

A part les plus rageux d’entre nous, Paris a certainement gagné beaucoup de coeurs en France. Quand on voit le match d’hier soir, on n’a qu’une hâte : se retrouver très vite en septembre pour la prochaine saison de Ligue des Champions, avec un PSG sans doute encore plus fort et je l’espère toujours aussi séduisant. » Écrit  Pierre Ménès.

L'appréciation est pour l'instant, la reconnaissance est pour toujours…

 

 

 

 

La page de la Ligue des Champions se tourne, désormais notre objectif est de remporter ce troisième titre de champion de France que le PSG a tant convoité.

Et à titre personnel j'aimerai vraiment accélérer mes cours de français car Google translate commence à me fatigué, je vais me rapprocher de Sirigu car a ce qu’il parait, en peu de temps il a réussi a assimiler la langue et parler parfaitement le français Je vais essayer de trouver son secret car je veux pas finir comme l’autre la, celui qui voulait cassé la cheville à Thiago Silva… Oui Brandao !!!! Je viens d’apprendre qu’il est brésilien, au début j’y ai pas cru car je pensais que c’était encore une blague de Zlatan..

— Lucas Moura (@LucasnaRede_) 20 mars 2013

Même si la langue de Molière lui pose problème, Lucas continue son intégration dans la capitale française, facilité par ses compatriotes Maxwell et Thiago Silva avec qui, il passe beaucoup de temps.

Il passe ses journées avec sa famille mais aussi avec sa copine Bruna Unzueta.

  

  

Son image est géré par L'agence 9nine, dont le patron n'est autre que Ronaldo « el fenomeno », le côté financier est régie par son père  et jusqu’à ses 19 ans, Lucas n'avait le droit d'utiliser que 15% de ce qu'il touchait.

Je fais tout pour rester proche de mes fans et supporter, je tweet beaucoup même si mon français est sponsorisé par Google translate, que je ne maitrise pas parfaitement pour le moment. Mon ami Greg (Gregory Van Der Wiel) lui c'est  un expert en la matière, il va me filler quelques tuyaux en attendant que mes cours de français évolues.

— Lucas Moura (@LucasnaRede_) 24 janvier 2013

— Lucas Moura (@LucasnaRede_) 1 février 2013

Apprendre le français dans un vestiaire multilingue…

« C’est important pour moi. Le français est une langue très jolie, je m’investis beaucoup dans l’apprentissage », affirme-t-il. Mais Lucas est un problème, il l'explique le sourire : « C’est compliqué parce qu’il y a beaucoup d’étrangers au club. Ça passe de l’italien ou l’espagnol à l’anglais, donc ça met de la confusion dans ma tête. » Pauvre Lucas, élève studieux de 20 ans dérangé par le je-m’en-foutisme de ses camarades.

> Dans l'intimité de Lucas…