Il est vrai que le PSG aurait bien besoin de ses services pour se sortir de la situation critique dans laquelle il nage depuis plusieurs journées. Malheureusement, il ne fait pas l'ombre d'un doute que le portugais plaisantait en abordant le sujet. Interrogé par le Canal Football Club ce dimanche, Pedro Miguel Pauleta est revenu sur la saison du PSG mais aussi sur le clasico, Gabriel Heinze et ses différents contacts avec l’OM et les autres clubs durant son passage à Paris.
Le Paris Saint-Germain
« Porter le maillot de Paris c’est une grande responsabilité. Les joueurs de Paris devraient savoir être toujours au top, quand tu vois un stade comme celui-là avec tous les supporters. Si tu n’as pas envie de jouer et de gagner tu ne peux pas être joueur de foot. »
L’effectif 2009/2010
« Pour jouer le haut de tableau il faut plus que l’effectif de Paris. C’est vrai que Paris a des joueurs de qualité mais quand je regarde les matchs du Paris Saint-Germain ça me fait un vide. J’aimerais revenir, pouvoir faire quelque chose, mais mon temps est passé. Maintenant le plus important c’est les joueurs qui sont là. »
PSG-OM
« Pour un joueur je pense que c’est le maximum que tu peux avoir en France. Marquer un but dans un match comme ça tu ne peux pas oublier. J’ai eu la chance de gagner pas mal de matchs et de marquer pas mal de buts contre Marseille, maintenant c’est le moment de Hoarau, Erding, Giuly, Peguy de faire gagner Paris aussi. Ca serait un bon déclic pour le reste du championnat. »
Ses contacts avec Marseille
« J’avais 30 ans et l’opportunité de partir à Lyon, à Marseille… Perrin était venu me voir avec la selecao à l’hôtel et voulait m’associer à Drogba. Mais bon, je me suis mis dans ma tête ‘Je vais à Paris’. Après, pour tous les autres clubs, je n’étais pas intéressé. »
Gabriel Heinze à l’OM
« Ca me fait de la peine quand je vois que les supporters de Paris l’aimaient beaucoup. C’est quelqu’un qui mourrait sur le terrain s’il voulait. J’espère le mieux pour lui, pas le mieux pour Marseille. J’espère qu’il va marquer mais contre son camp le 28 février (rires) ».