Richard Olivier, le président de la DNCG et chargé de surveillé les comptes des clubs français, apparaît comme un potentiel danger aux vues du Fair-Play Financier. Notamment pour le club du Paris Saint Germain.
Voici quelques extraits de ces déclarations « Au regard du règlement UEFA, le contrat image du Qatar avec le PSG pourrait ne pas passer en tant que recettes mais en quasi-apport de fonds propres. Or, cette comptabilisation en recettes est conforme au droit comptable français et international. Voilà une différence d’appréciation qui pourrait d’ailleurs fort bien être tranchée en justice. D’autant que ce type de contrat a une pertinence, car il offre une visibilité à long terme au club, expliquait Richard Olivier dans Les Echos. J’ai beaucoup d’admiration pour Michel Platini mais je pense cependant que le fair-play financier est défavorable au football français en écartant des recettes de sponsoring. Or, la vraie question n’est pas de savoir comment traiter les contrats de sponsoring mais comment traiter le problème des charges et des salaires. L’objectif premier du fair-play financier était d’enrayer l’inflation salariale, ce qu’il n’a pas réussi à faire à ce jour. Au final, il met en danger un modèle français avec des clubs financés par des entreprises ou des hommes d’affaires. »
Des déclarations qui vont faire trembler un peu plus le PSG qui devrait être fixé rapidement sur sa situation