Daniel Riolo a réservé son premier billet de l'année 2015 à la situation du PSG et plus particulièrement l'affaire Lavezzi-Cavani.
Le journaliste sportif a pris la défense des deux attaquants parisiens et a préféré pointer du doigt la responsabilité de l'ensemble des dirigeants dans cette affaire : « Qui découvre aujourd’hui le problème des joueurs sud-américains durant les fêtes de fin d’année ? On ne pouvait pas prévoir ? Pire, dans le cas de Cavani, on est face à un problème plus grave. On sait depuis un an qu’il traverse une période très difficile dans sa vie. Qui sait si sa carrière ne sera pas grandement marquée par son divorce et surtout le fait de ne plus voir ses enfants. On parle d’humains ou de machines ? Tout ça aurait dû être anticipé. Jamais le club ne doit se retrouver dans cette situation. Un grand club n’est pas un club rigide. L’idée est fausse. Le grand club parce qu’il est structuré (Président, Directeur sportif, entraîneur) anticipe toutes les difficultés. Il prévoit. Cruyff, Mourinho, Ancelotti, tous les grands savent qu’accorder des faveurs n’est pas l’exception. Ça existe, ça se prépare. On ne se retrouve pas à jouer au flic en conférence de presse, pris en otage par une communication minable […] La réalité, c’est qu’encore une fois, Blanc, seul, isolé, loin de son groupe est apparu largué, perdu, dépassé par les événements et sa fonction… Les responsables, les vrais coupables de cette situation déplorable l’ont toutefois soutenu et lui ont même tendu le carnet de contraventions. » a-t-il écrit sur son blog pour RMC Sport.