Mateja Kezman avait exprimé ce matin son désespoir de
ne pas pouvoir être libéré par Fenerbahçe pour signer au Paris
Saint-Germain. « Je crois que Paris va finalement
devoir chercher une autre solution parce que cest très compliqué de
sentendre avec Fenerbahçe. Je suis très déçu de cette situation, mais
cest la vie et je comprends le PSG, car le championnat a débuté et ils
ont besoin de trouver un attaquant. »
En cause le million réclamé par la formation turque
correspondant à la moitié de la prime à la signature qua perçue le
Serbe à son arrivée sur les rives du Bosphore. Ce contre temps na pas
manqué dagacer les dirigeants parisiens qui comptaient boucler
laffaire le plus rapidement possible afin de pouvoir aligner lancien
joueur du PSV en attaque aux côtés de Guillaume Hoarau.
Interrogé par Lðquipe, le responsable de la communication du PSG, Bruno Skropeta, a déclaré que le club de la capitale nallait pas attendre ad vitam eternam que Fenerbahçe et son buteur règlent enfin leur litige. « On
a trouvé un accord avec les deux parties. Il y a un litige que lon
connaît, on attend quil se règle. On a essayé de faire évoluer les
choses, mais notre accord avec Fenerbahçe et Kezman ne va pas être
valable trois semaines encore ! On est optimiste, il le faut bien, mais
dans lespoir que ça se règle rapidement ! »
Du coup, alors que le nom du Brésilien Grafite a été
évoqué pour pallier un échec du dossier Kezman, le dirigeant francilien
a également avoué que des solutions de rechange étaient bel et bien
étudiées. « On est patient, mais prudent. On nest pas
bête, il faut se retourner au cas où. On se renseigne des prix, on
étudie des pistes. Lidéal, cest que Kezman arrive dès maintenant,
mais comme ce nest pas le cas, alors on continue de travailler. »