
Kvicha Kvaratskhelia intenable face à l'Olympique de Marseille
Khvicha Kvaratskhelia, ou tout simplement « Kvara », n’en finit plus de faire tourner les têtes sur le Vieux Continent. À seulement 24 ans, l’ailier géorgien du Paris Saint-Germain a conquis les plus grandes scènes européennes, aux meilleurs joueurs du monde à son poste. Et ce ne sont pas les louanges qui manquent.
Southgate le classe parmi les meilleurs au monde
Gareth Southgate, ancien sélectionneur de l’Angleterre, n’a pas mâché ses mots au moment d’évoquer le talent brut du joueur :
« Pour moi, il est dans le top 5 mondial (à son poste), tout là-haut avec Mo Salah, Vinicius Jr, Bukayo Saka, Rodrygo et Raphinha. »
Un éloge rare venant d’un technicien habituellement mesuré, qui en dit long sur la deuxième partie de saison que réalise « Kvara ». Il faut dire que le Géorgien allie créativité, vitesse et générosité dans le jeu, une combinaison devenue précieuse dans le football moderne.
Un style de jeu qui électrise Paris
Le journal L’Équipe ne tarit pas non plus d’éloges à son sujet :
« Pas besoin de baiser (parfois hypocrite) sur l’écusson, ni de fanfreluches, Khvicha Kvaratskhelia a déjà séduit tout Paris par un jeu électrique et une générosité sans fin. »
Kvara n’a pas besoin de symboles ou de déclarations grandiloquentes. Son football parle pour lui, et il a su conquérir Paris et l’Europe par son authenticité et son efficacité.
Le feu sacré des grandes soirées européennes
Mais c’est en Ligue des Champions que Kvaratskhelia semble toucher à la quintessence de son art. Face aux plus grands, il se transcende, enchaînant les prestations de haut vol. Lors du match aller contre Arsenal à l’Emirates, sa performance a suscité une comparaison inattendue de la part du Times :
« Chaussettes baissées, rapide, inventif, fort… Certains vont juger que la comparaison est un sacrilège, mais elle n’est sûrement pas déplacée », écrivait le journal, osant la parallèle avec George Best, légende intemporelle du football britannique.
De promesse à référence mondiale
Kvaratskhelia ne se contente donc plus d’être une promesse. Il est devenu une référence, un joueur qui marque son époque. L’Europe l’observe, admirative. La Géorgie rêve. Et les amoureux du beau jeu savourent.