Pour le Journal du Dimanche, l'ancien artificier de l'Olympique Lyonnais a répondu à la sampiternelle question de savoir qui entre l'OL qu'il a connu et le PSG d'aujourd'hui qui tutoie les sommets européens est le plus fort. Selon lui, l'OL avait un avantage indéniable sur le PSG.
« Paris a l’argent, l’organisation et le talent pour faire mieux que nous. A une condition : l’amnésie. Il faut oublier Chelsea. C’est la force des grands joueurs et des meilleures équipes d’effacer de leur mémoire les succès et les échecs. Sinon, la soif de nouvelles conquêtes n’est pas suffisante. En plus de mes coups francs, c’est ce que j’ai apporté à Lyon : le désir farouche de gagner un peu plus chaque saison. C’est pourquoi je pense, avec beaucoup de respect, que notre équipe des années 2005 et 2006 avait toutes les qualités pour battre le PSG d’aujourd’hui. Mais j’admets que c’était peut-être plus facile pour nous. Parce que nous rêvions de gagner tandis que Paris en a l’obligation. »