Simon Tahar, Président
Directeur Général du PSG, et Philippe Boindrieux, Directeur Général
délégué du PSG ont tenu, ce jour, une conférence de presse au Parc des
Princes pour confirmer que le Club faisait appel de la décision rendue
par la Commission de Discipline de la LFP, excluant le PSG de lédition
2009 de la Coupe de la Ligue, suite au déploiement dune banderole à
caractère injurieux.
Directeur Général du PSG, et Philippe Boindrieux, Directeur Général
délégué du PSG ont tenu, ce jour, une conférence de presse au Parc des
Princes pour confirmer que le Club faisait appel de la décision rendue
par la Commission de Discipline de la LFP, excluant le PSG de lédition
2009 de la Coupe de la Ligue, suite au déploiement dune banderole à
caractère injurieux.
La
Commission de Discipline de la LFP reproche au PSG davoir été complice
dactes concertés. Le club ne peut accepter cette décision et les
propos intolérables et inacceptables tenus par la Commission de
Discipline mettant en cause le travail et lintégrité des personnes
qui, au quotidien, travaillent pour et avec le Club.
Pour
cette raison, le Paris Saint-Germain fait appel de cette décision
devant la Commission supérieure dappel de la FFF et se dit prêt à
aller jusquau bout de la chaîne sil le fallait, c'est-à-dire, le
Conseil dEtat pour faire annuler cette décision.

«
Depuis une dizaine de jours, jassume le rôle de Président du Paris
Saint-Germain. Ma tache est de montrer que le club est une force qui
résiste aux difficultés. Je découvre, au fur et à mesure, des choses
étonnantes qui pèsent lourdement sur la situation du club. Je veux
notamment parler de la décision prise, le 30 avril 2008, par la
commission de discipline de la Ligue, à propos de laffaire dite de la
banderole. Le soir de cette décision, le Club exprimait son choc suite
à cette annonce. Le mot choc est faible par rapport à lémotion
ressentie par toutes les personnes soutenant le PSG : la Ville de
Paris, la Ville de Saint-Germain en Laye, les partenaires, les salariés
et tous les sympathisants. Il est absolument impossible, inadmissible
et intolérable quune même entité, en loccurrence, la Ligue de
Football Professionnel, soit à la fois juge et partie. Juge parce
qu'elle a sanctionné le club, et partie parce qu'elle est
l'organisateur de la finale de la Coupe de la Ligue. Cela n'existe pas
dans les sociétés de droit. Nous sommes dans une situation tout à fait
anormale. La deuxième raison, c'est que pour justifier la décision on
s'est permis de porter contre le Paris Saint-Germain des accusations
intolérables. On reproche au PSG d'avoir été le complice d'actes
concertés. C'est indigne et je ne laccepte pas. C'est pourquoi nous
avons décidé de faire appel de cette décision devant la commission
supérieure d'appel de la FFF. »
Depuis une dizaine de jours, jassume le rôle de Président du Paris
Saint-Germain. Ma tache est de montrer que le club est une force qui
résiste aux difficultés. Je découvre, au fur et à mesure, des choses
étonnantes qui pèsent lourdement sur la situation du club. Je veux
notamment parler de la décision prise, le 30 avril 2008, par la
commission de discipline de la Ligue, à propos de laffaire dite de la
banderole. Le soir de cette décision, le Club exprimait son choc suite
à cette annonce. Le mot choc est faible par rapport à lémotion
ressentie par toutes les personnes soutenant le PSG : la Ville de
Paris, la Ville de Saint-Germain en Laye, les partenaires, les salariés
et tous les sympathisants. Il est absolument impossible, inadmissible
et intolérable quune même entité, en loccurrence, la Ligue de
Football Professionnel, soit à la fois juge et partie. Juge parce
qu'elle a sanctionné le club, et partie parce qu'elle est
l'organisateur de la finale de la Coupe de la Ligue. Cela n'existe pas
dans les sociétés de droit. Nous sommes dans une situation tout à fait
anormale. La deuxième raison, c'est que pour justifier la décision on
s'est permis de porter contre le Paris Saint-Germain des accusations
intolérables. On reproche au PSG d'avoir été le complice d'actes
concertés. C'est indigne et je ne laccepte pas. C'est pourquoi nous
avons décidé de faire appel de cette décision devant la commission
supérieure d'appel de la FFF. »

« Le PSG déploie des moyens qui sont les plus importants pour un club
français et même sans doute au niveau Européen en matière de sécurité.
Ce système est basé sur trois actions que la LFP a demandé à tous les
clubs de prendre. Le Club sest donc doté de moyens techniques, comme
la mise en place de la vidéo surveillance (le Parc des Princes est
équipé de plus de 150 caméras). Un PC sécurité géré, conjointement par
le club et la police, ainsi que la mise en place dun contrôle daccès
permettant déviter les passages en force et les fraudes. Le Club s'est
également doté d'un nouveau système de billetterie en phase avec le
contrôle daccès absolument unique en France. Tous les abonnés du PSG
sont venus se faire photographier au stade. Le PSG connaît lidentité
de chacun de ses supporters ; on ne peut pas alors parler de complicité
quand un club met autant dactions en place. Le PSG assume et assumera
toujours ses responsabilités comme doit le faire toute entreprise
aujourdhui dans le droit français. Mais un club de foot na pas les
possibilités dinterpeller les individus et de les condamner. »